Luz Fernandez [Under construction]

I. Général
Nom : Fernandez
Prénom(s) : Luz Layla
Surnom (s) : 'Luz' ne se prête pas à une interminable liste de surnoms. Certains préfèrent y aller de Fernandez, son nom de famille, alors que d'autres jouent des dérivés de son prénom, tels Lulu ou Luzzie. Du temps où elle était proche de sa famille, on la surnommait également Estrella, en lien avec son prénom qui signifie 'lumière'.
Date et lieu de naissance : Tout comme les trois autres enfants Fernandez, Luz a vu le jour à Guadalajara, au Mexique. Elle y a ouvert les yeux pour la première fois un dix août.
Âge : 20 ans
Occupation :
Signe du Zodiac : Lion
Origine : Luz mélange les racines cubaines de sa mère et mexicaines de son père. Que de sang chaud en une même personne.

II. Personnalité

• Goûts

Livre favoris :
Style musical préféré : Depuis son enfance, Luz aime être bercée par les rythmes endiablés des musiques latines. Sa culture musicale n’a cessée de s’agrandir avec le temps et avant son départ du Mexique, elle était une incurable passionnée de la musique de tango. Maintenant presque aussi Américaine que Mexicaine, elle apprécie également la musique populaire d’Amérique du Nord.
Groupe ou Chanteurs favoris : Elle ne peut s’empêcher de fredonner tant les paroles de Alejandro Sanz que les refrains du groupe Muse. Bien que la différence entre les deux soit de taille, elle ne saurait les départager. Elle prend néanmoins bien garde à ne jamais apprécier aucune note que pourrait pousser Catalina Evans. Il ne manquerait plus que ça.
Genre de Film préféré : Non seulement Luz préfère-t-elle les films plus vieux (elle n'a que faire des films de box-office aux acteurs botoxés), mais elle est avant-tout passionnée des longs-métrages de danse. Si le film contient ne serait qu'une seule scène, on a tout à croire qu'elle l'a déjà vu.
Film préféré : Dirty Dancing. Ses yeux sont restés marqués pendant de longues années de la silhouette de Patrick Swayze. Elle apprécie également beaucoup le film Scent of a Woman, avec Al Pacino.
Ville préférée : New York. Son frère supportait-il de l’entendre ?
Pays préféré : Malgré sa récente appartenance à ce somptueux pays qu’est les Etats-Unis d’Amérique, Luz voue toujours une grande passion à son pays d’origine, le Mexique. Elle rêve d’y retourner, mais n’en a pas le courage.
Pièce d'un logement préféré :
Saison favorite : Son déménagement n’a pu extraire les racines latines qui règnent en maîtres chez la jeune Fernandez. Comme toute jeune femme au sang chaud qui se respecte, Luz reste une fidèle partisane des chaudes températures d’été.
Couleur préférée : Le rouge. Existe-t-il couleur plus passionnée ?

Look préféré :

Passion* :

• Caractère

Caractéristiques :
3 qualités principales :
3 défauts principaux :

Vision de la vie :

Ce qu'elle/il apprécie chez les gens :
Ce qu'elle/il ne supporte pas chez les gens :

III. Vie
Histoire du personnage :

***

Luz parcourut son sac de la main à la recherche de ses clés alors des souffles de voix lui parvenaient de l’intérieur. Le son de la télévision, probablement, qu’avait du ouvrir son mari en rentrant du travail. Avait-il prit la peine de venir passer sa pause déjeuner avec elle ?
Un sourire attendri couvrit les lèvres de Luz alors qu’elle extirpait ses clés de son énorme sac, sortant par la même occasion une enveloppe aux airs exotiques. Aussi silencieusement que pouvait le faire la dernière des Fernandez, elle déverrouilla la porte de l’appartement qu’elle partageait avec Andrew Lewis et se faufila dans l’entrée encore chargée de boîte en carton de tous genres. Le déménagement remontait encore à si peu de temps.
Les murmures de la télévision se firent plus insistants, la musique d’ambiance plus forte. Luz déposa au sol un sac à main aux couleurs sobres, retira ses lunettes de soleil typiquement américaines et déposa un baiser léger sur l’enveloppe qu’elle avait toujours en main. C’était là la plus ingénieuse idée qu’elle pouvait avoir.

Le mariage entre Andrew et Luz remontait déjà à trois ans. Trois ans auparavant, ils fêtaient au champagne de luxe l’union de cette jeune fille de 17 ans, encore secoué par un départ précipité avec cet homme de 26 ans, directeur d’entreprise qui avait craqué pour la personnalité enflammée de Fernandez. Un mariage aux débuts pleins de passion, d’effervescence encore nouvelle, mais qui s’était aussi rapidement ternit. En moins de trois ans, ils avaient adopté une routine qui les éloignait l’un de l’autre jusqu’à ce que le petit Samuel Javier Lewis devienne leur seul lien. Luz avait comblé sa vie de musique et de sorties tardives, Andrew s’était enfoncé dans un travail de plus en plus prospère, de plus en plus prenant. Ils ne menaient aujourd’hui que l’esquisse fausse d’une vie de couple. Depuis combien de temps ne l’avait-il pas seulement frôlé ?
C’était pour mettre un terme à cette froideur inconsciente que Luz avait précieusement gardé la dépliant du Siren lorsqu’elle l’avait trouvé dans sa boîte aux lettres. Puisque après tout, ils en avaient les moyens, pourquoi ne pas tenter cette expérience ? Qu’avaient-ils à perdre ?

Luz posa une main délicate sur la poignée de porte de la chambre alors que s’élevait le rire étouffé de son mari. Ce son fit naître une étincelle au fond de son regard ébène alors qu’elle tournait la poignée, ouvrant la porte d’un geste dramatique.

« Tu ne devineras jamais ce que ta charmante femme a… », commença-t-elle sur un ton théâtral alors que ses yeux se posait sur la forme allongée de son cher et tendre. Et sur celle, à ses côtés, d’une collègue de travail. Quel drôle de travail d’équipe.

« Isabelle… », lâcha la superbe brune alors que son bras retombait le long de son corps. Son visage était stoïque, impassible, et contrastait dangereusement avec l’air pour le moins contrit d’Andrew et le malaise d’Isabelle. Miss Fernandez –elle n’avait jamais accepté de porter le nom Lewis- réussit même à esquisser le frôlement d’un sourire ironique alors posait la précieuse enveloppe sur une table. Sans un regard vers les tourtereaux, elle ouvrit la penderie de la chambre, de laquelle elle extirpa une énorme valise. Sans aucune délicatesse, elle laissa tomber cette dernière au pied du lit conjugal, écrasant par la même occasion le pied délicat d’Isabelle dont les lèvres se couvrirent d’une légère grimace.

- Luzzie, laisse-moi t’expliquer, ce n’est…
- Ce n’est pas ce que je crois, je sais. Une chance, n’est-ce pas, vu que j’avais la fâcheuse impression que mon mari était en train de coucher avec une collègue de travail dans le lit même où il m’a demandé de l’épouser. Heureusement que ce n’est qu’une hallucination !
- Luz…, répéta l’adorable et fidèle Andrew sur un ton conciliant, celui-là même avec lequel on s’adresse aux enfants.
- Où est Javier ?
- Samuel. Il est chez ma mère.
- Oh c’est bien. Au moins vous ne l’avez pas fait participer, lâcha Luz sans chercher à cacher le dégoût qui perçait ses mots.

Les jupes, chandails et pantalons s’empilèrent rapidement dans la valise de Fernandez, sous l’œil gênée d’Isabelle à qui elle adressa finalement un regard méprisant.

« Si tu permet, j’aimerais beaucoup que ton sorte ton corps celluliteux de mes draps. Vois-tu, ce n’est pas parce que tu couches avec mon mari que je me sens plus à l’aise de déballer mes sous-vêtements devant toi. »

La jolie blonde qu’était Isabelle fit un mouvement pour s’extirper des couvertures, mais son regard se figea quand Luz empoigna ses vêtements, qu’elle jeta sans cérémonie par la fenêtre de la chambre.

« Désolée, ça faisait désordre dans ma chambre », lâcha-t-elle comme une évidence alors qu’elle se retournait vers Isabelle, les mains sur les hanches.

- Tu attends quoi pour sortir ?
- Mes, hum… Je n’ai plus de vêtements, gémit la principale concernée en lançant un regard dépité à son amant. Luz couvrit son visage d’un air de surprise et posa son regard sur son mari.
- Mon Dieu, tu les choisis intelligente mon amour, lâcha-t-elle d’un ton amère en se remettant à sa valise.

S’extirpant difficilement du lit, Isabelle s’enroula dans le drap et prit lentement le chemin de la porte. Son sens aigue de la survie lui dictait –et pour cause- qu’il n’était pas bon rester là.

« Ne t’en fais pas, je t’enverrai la facture pour le drap ! », cria Luz sur un ton léger alors que la porte d’entrée se refermait sur le corps timide d’Isabelle dans le couloir. C’était ça de réglé.

IV. Profil physique
Style vestimentaire :
Manies :

V. Player
Avatar : Jordana Brewster
Fille ou garçon : Fille
Comment avez-vous connu le forum : De liens en liens ^^
CODE : 583
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La suite arrive !

Bienvenuuuuue

Le signe astrologique est bien choisi, si je puis me permettre

Welcomeee!

Spoiler:

Evitez de vous abîmer quand même

Merci Zephyr !

Voilà j'ai finalement fait un choix, je vais prendre Jordana Brewster. Je crois qu'elle convient mieux à une femme plus explosive